Organisé par le Lauder Institut (Institut de Management et d’études internationales de la Wharton School of the University of Pennsylvania, le Africa Futurs Symposium 2025 s’est tenu les 4 et 5 Avril 2025 à Philadelphie aux Etats-Unis autour du thème « Naviguer dans l’incertitude Mondiale ». A cette occasion, Mme Henriette GOMIS BILLON, Directrice de la Communication et du Développement durable Groupe SIFCA, s’est prononcée sur les questions liées aux chaînes d’approvisionnements des Pôles Caoutchouc, des Oléagineux et du Sucre de canne du Groupe SIFCA, ainsi que la relation de proximité du Groupe SIFCA avec ses principaux fournisseurs et les planteurs villageois, via ses filiales SAPH, SIPH, PALMCI, SANIA, SUCRIVOIRE.
La Directrice de la Communication a orienté sa prise de parole autour des spécificités des matières premières en Côte d’Ivoire, notamment l’importance stratégique de l’huile de palme dans l’économie locale et sous régionale. Produit endogène, largement utilisé et souvent mal compris à l’international, l’huile de palme, a-t-elle rappelé, reste un levier de développement essentiel pour le pays, évoquant également l’industrie de l’hévéa et soulignant la Qualité et l’engagement de la filière dans le respect de l’Environnement et la traçabilité du produit SIPH.
Dans son intervention, Mme Henriette GOMIS BILLON a longuement insisté sur la particularité du Groupe SIFCA, Leader de l’agro-industrie en Afrique de l’Ouest et 1er employeur privé après l’état de Côte d’Ivoire, notamment son poids important dans l’économie Ivoirienne. Ces sujets, couplés à sa politique de Développement durable, ont été très appréciés du public constitué de personnalités de haut niveau. Les nombreuses initiatives du Groupe et de ses filiales, SAPH, SIPH, PALMCI, SANIA, SUCRIVOIRE dans les communautés rurales et ses projets sociaux ont été également salués par l’auditoire.
Différents panélistes se sont exprimés sur des sujets aussi divers que les industries géostratégiques, la concurrence mondiale, les alliances régionales, mais également la recherche de solutions permettant à l’Afrique de mieux se préparer et s’adapter face aux incertitudes du monde actuel telles que les crises économiques, climatiques, politiques, etc.
Au nombre des panélistes, figuraient plusieurs professeurs d’Université, des organes du Gouvernement des Etats-Unis, avocats, banquiers ou financiers, discutant de facteurs menant à des solutions pour le futur du continent Africain. Quelques idées principales ressortant des échanges telles que le retour sur investissement des jeunes ayant étudié à l’étranger, et particulièrement aux Etats-Unis, ou les partenariats entre l’Université et les organismes Africains, l’importance des échanges entre le continent et l’occident, ont été abordées.
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